Géobiologie et magnétisme en Drôme - Ardèche

Attraits et bienfaits de la

Communication animale

Principes de base à intégrer pour aborder la communication animale

Concernant l’animal :

1. Tout animal a une âme. Celle-ci continue d’être, de vivre et de s’exprimer après la mort du corps. En l’âme est le principe de vie.
2. Tout animal est utile. Le terme « nuisible » n’est valable que lorsqu’une espèce prolifère et devient dangereuse pour l’équilibre de la nature (en ce sens l’Homme est nuisible et le restera tant qu’il ne remettra pas en question sa manière de voir les choses et de consommer).
3. Aucun être vivant ne nait agressif ou foncièrement mauvais, méchant. Il le devient, ou peut le devenir.
4. Tout mal-être, désordre comportemental, agressivité… a une ou plusieurs causes qu’il est indispensable de comprendre et de prendre en compte pour espérer une amélioration, voire une guérison complète de l’animal.
5. L’âme de chaque animal est reliée à une « Âme-groupe ». Chaque espèce animale possède une « âme-groupe » distincte, qui peut, si elle le juge utile, délivrer un message au communiquant.
   

Concernant la communication elle-même :

1. Tout animal, domestique ou sauvage, est respectable. Le communiquant a nécessité de ressentir, pour communiquer avec lui, un amour-tendresse-détachement, dénué de tout jugement purement humain. L’énergie d’amour est seule apte à « réparer » ce qui a pu être dégradé chez un être vivant.
2. La patience est une règle d’or. Ce n’est pas le communiquant qui décide qu’une communication peut ou doit avoir lieu, c’est l’animal lui-même qui, se sentant suffisamment en confiance, accepte sa présence et permet l’échange.
3. Toute âme se mène par la douceur.

 Définition :

      La communication animale consiste à se mettre à l’écoute - une écoute profonde dénuée de jugements et d’interprétations mentales - des pensées, des émotions, des mémoires d’un animal, dans le but de cerner son caractère, son vécu, les difficultés qu’il rencontre, ou qu’il a pu rencontrer, afin de le comprendre, comprendre ses réactions, son comportement, et, si besoin est, l’aider à corriger une attitude négative, un comportement agressif, un problème de santé… etc…

     Il est alors question de chercher la cause d’un mal-être plutôt que de vouloir traiter ses effets, ou de les occulter purement et simplement : une difficulté comportementale en apparence anodine (d’un animal comme d’un  être humain d’ailleurs) peut cacher un réel problème, qui, s’il est pris à temps, compris, « entendu », peut ne pas s’aggraver et entrer dans une phase de guérison.

     L’animal peut « exprimer » au communiquant autant une réalité de bien-être, un présent serein, que des difficultés, des souffrances, les mettre en lumière en quelque sorte, qui lui viennent soit de son présent, ses rapports avec ses maîtres actuels (s’il s’agit d’un animal de compagnie), soit de son passé, un traumatisme subit à un moment donné de son existence, une difficulté lié à un ancien maître… qui influe toujours sur ses réactions, son comportement, sa santé… dans son présent.

 Explications et manières de faire :

     Les animaux communiquent entre eux par télépathie, de cœur à cœur. Ils ne savent pas mentir, tricher (sauf si un humain le leur apprend !). Chaque être vivant est en quelque sorte un émetteur/récepteur d’ondes qui peuvent se déplacer librement entre les êtres sans qu’il soit besoin de mots, de paroles ou de sons et qui véhiculent ses pensées, ses émotions, son vécu, son identité profonde…

     Dans le cadre de la communication animale, le communiquant doit  approcher l’animal, d’âme à âme, avec respect. Il cherche, tout d’abord, la « longueur d’onde émettrice » de l’animal, un peu comme un poste de radio, puis se « branche » dessus. Ensuite il entre dans une phase d’attente, de lâcher-prise, afin de laisser les informations que l’animal souhaite bien lui faire parvenir, venir à lui.

     L’animal est seul juge de la confiance qu’il peut, ou non, offrir au communiquant. A cette condition, la transmission des informations qui le concerne s’effectuera naturellement. Il est donc nécessaire de passer du temps avec lui, l’observer, lui parler (avec la voix ou mentalement), chercher à le comprendre, loin de nos schémas mentaux, non pour prendre un quelconque pouvoir sur lui, mais bien pour l’aider, apprendre à l’aimer (car aimer s’apprend !). L’échange vient de lui-même, la communication se fait presque toute seule, au moment où le contact est le plus sain, le plus désintéressé, le plus ancré dans le cœur possible.

     Cette communication peut prendre plusieurs aspects : pensées diverses qui prennent forme, se « concrétisent » par des mots dans la tête du communiquant, visualisation d’images, ou de scènes vécues par l’animal dans son passé proche ou lointain, simple impression-intuition qui exprime un état d’âme…etc…

     Si l’échange ne se fait pas, ce n’est pas un problème, c’est juste que les conditions de sa réalisation ne sont pas réunies. Il convient de nous interroger : qu’est-ce qui, dans notre attitude, notre approche, manque ou est de trop pour permettre cette communication ? Qu’est-ce qui peut bloquer l’échange, venant du maître ou de l’animal ?…

     Bien souvent nous nous positionnons face à un animal, comme « être supérieur » (même inconsciemment), envers qui l’animal doit obéissance. Ce simple positionnement est néfaste et faux ! Aucune créature de ce monde n’est supérieure à une autre, il existe une complémentarité absolue entre les êtres, quels qu’ils soient ; complémentarité qui permet à tous les êtres vivants de vivre en bonne intelligence, en équilibre… et aux différentes espèces animales, végétales… de perdurer sur la planète Terre.

     Nous oublions trop souvent que sans la nature, l’homme ne pourrait vivre, tandis que sans l’homme, la nature a vécu de nombreux millénaires et pourrait très bien se passer de lui à nouveau.

     Dans le cadre de la communication animale, il importe de se doter d’une forte dose d’humilité, de laisser de côté nos lointaines volontés dominatrices, d’accepter de ne plus être « prédateur » pour le monde animal. C’est un véritable chemin, à parcourir pas à pas, car l’humilité est une vertu difficile à acquérir. Il convient de retrouver son âme d’enfant, car un enfant fera toujours plus naturellement ce qu’un adulte aura le plus grand mal à réaliser.

     Tout ceci ne remet pas en cause le fait que l’animal de compagnie doit obéissance au maître, mais une saine autorité n’est généralement jamais remise en question si elle est guidée par le respect et les sentiments véritables. D’ailleurs ne devrions pas trouver un autre terme que celui de « maître » et abolir l’esclavage de certains animaux ?

     Par son comportement, ses attitudes de fuite ou d’attraction envers le communiquant,  d’intérêt ou de rejet, l’animal exprime, et enseigne en quelque sorte au communiquant, ce qu’il attend de lui : plus de disponibilité, plus de douceur, de patience, de temps… La confiance ne s’installe pas du jour au lendemain. L’animal a besoin de connaître le communiquant, sentir son odeur, ses intensions, accepter sa présence…

     Il est toujours relativement long et très exigeant d’établir un climat de confiance entre deux êtres, quels qu’ils soient.

     S’il est nécessaire de passer du temps avec l’animal, il faut prendre soin toutefois, de garder avec lui une certaine distance. Le communiquant n’est pas le « maître », il intervient juste pour apaiser une situation, apporter des solutions, amener plus de compréhension entre le maître et l’animal. A aucun moment il doit se substituer à lui, ni porter de jugement sur les attitudes de celui-ci envers son animal. Il lui faut s’expliquer, exprimer par des mots simples ce qu’il a reçu en pensées de l’animal.

     Chaque animal de compagnie a, envers son ou ses maîtres, une « mission », ou une fonction : aider les humains dans leur quête de bonheur, leur fournir une écoute attentive, les aider à dépasser leur solitude intérieure. Ils ont cette tâche difficile d’être celui qui se tait mais reste présent quoi qu’il arrive. La communication animale sert cette fonction.

     Dans les apparences, le futur « maître » va chercher « son » animal de compagnie dans un refuge ou autre lieu… mais dans les faits, pourquoi telle ou telle personne se trouvant devant un animal, craque littéralement, alors qu’il en a vu des dizaines d’autres auparavant qui ne lui ont fait (presque) aucun effet ?    

     Quelque-chose dans le regard, dans le contact avec l’animal, lui fait dire que c’est cet animal qu’il lui faut et non un autre.

     C’est juste que le besoin de l’humain et celui de l’animal entre en résonnance, en correspondance, en communion profonde ; ils sont tous deux en phase et vont pouvoir s’apporter mutuellement ce que l’un et l’autre recherche.

     Il est donc relativement faux de prétendre que c’est l’humain qui décide du choix de l’animal, c’est leur besoin commun, leur demande affective profonde qui est  le maître à penser de la situation.

     L’humain descend de l’animal, tous nous venons de l’animal, nous avons donc tous une animalité interne, profonde, un instinct, que notre société et notre volonté de réussite sociale dans ce monde dit « civilisé » n’ont cessé de détériorer, repousser, rabaisser. Ce sont pourtant nos racines.  

     En l’animal qui a-t-il ? Il y a l’instinct de survie, la soif de liberté… quoi de plus utile, de plus beau ? En l’animal il y a cette force phénoménale qui le pousse toujours à aller de l’avant, malgré les dangers qu’il rencontre ; en l’animal il y a également ce que bon nombre d’humains (surtout adultes) ont une forte tendance à oublier : une sincère joie de vivre, ancrée dans l’instant présent !

     Nos animaux de compagnie ont cette mission-fonction : nous redonner le goût des choses, nous redonner confiance en la vie, nous redonner ce que la société nous retire bien souvent : la spontanéité.

     Il n’est donc absolument pas faux de dire qu’un problème de santé ou de comportement chez un animal se répercute dans la vie la plus intime de son maître, et un problème de santé ou psychologique chez le maître se répercute sur son animal de compagnie. Nous sommes liés par des liens plus solides qu’aucun autre lien : l’amour, l’affect, la sensibilité-fidélité d’une âme envers une autre âme.

     Par ce lien il n’est pas rare de voir un animal de compagnie aller jusqu’à prendre sur lui une maladie pour en préserver son maître. C’est pourquoi une communication animale prend nécessairement en compte l’animal mais aussi le maître.

     C’est grâce à ces affirmations-constatations qu’une communication animale peut porter ses fruits, en recherchant tout d’abord la cause d’une problématique chez l’animal, même si cette problématique est liée aux difficultés que rencontre son maître (s’il veut bien l’entendre !).

     Une fois la cause trouvée, découverte, « conscientisée », il est possible d’intervenir pour soigner, apaiser en profondeur, guérir même, parfois, un comportement dû, le plus souvent, à un traumatisme ancien qui n’a jamais été pris en considération.

     Sans cette connaissance de la ou des causes de tel ou tel comportement, nous ne sommes que des aveugles qui chercheraient à guider d’autres aveugles.

     Si intervenir pour le bien de l’animal est nécessaire, une vérité s’impose pourtant : laisser agir l’instinct de vie. Il y a en chaque être vivant ce principe d’une force incommensurable, cette affirmation venue du plus profond de l’être, sa source de vie, et qui peut vraiment le sortir de bien des problèmes, de bien des situations.

     Le communiquant n’est là que pour apporter-proposer une guidance vers le bien-être, à aucun moment il n’impose quoi que ce soit. C’est là une erreur que font bon nombre d’êtres-humains : ils « savent » (ou croit savoir) ce qui est bon pour l’animal et cette affirmation intérieure leur donne un passe-droit purement illusoire en vérité. Chaque être vivant sait, connaît intimement le chemin qu’il doit emprunter pour aller vers plus de bonheur, de paix et pour la préservation de son existence comme celle de son espèce. Ce sont les lois de la nature, elles régissent la vie sur terre depuis des millénaires.

     D’une certaine manière, l’animal et le principe de vie qui le gouverne, une fois mis en confiance, soutenu moralement, énergétiquement, se sentant respecté, protégé, se soignera lui-même de ce qui le blesse, le brime, le détourne de son instinct de vivre en paix avec lui-même, en équilibre avec tout ce qui est. Il ne manque parfois qu’un déclic, une simple orientation à prendre, une profonde inspiration, pourtant naturelle, à intuitionner… pour permettre le déblocage d’une situation émotionnellement bloquée depuis des années. A la suite d’une telle intervention, il est souvent nécessaire de laisser le temps agir. Le communiquant est plus un « accompagnant » vers la guérison de l’animal, ou vers un mieux-être, qu’un « soignant ».

• spiritismekardec.blog4ever.com

   Vous donne accès aux travaux d'un groupe de magnétisme spirite de la Drôme. Le Spiritisme, codifié par Allan Kardec, cherche à aider les êtres humains dans leur évolution spirituelle et dans leur volonté de découvrir ce que cache la Vie.

Contact:

Jacques Blanc

0672849515

jacques-blanc1212@bbox.fr

• La Géobiologie, qu'est-ce que c'est , et à quoi ça sert ?

   

Géo : la terre

Bio : la vie

Logie : l’étude

Géobiologie de l'habitat en Drôme/Ardèche

A/

     La Géobiologie est l'étude énergétique d’un lieu, notamment les ondes électromagnétiques d'origine naturelle et artificielle, et leurs influences sur la vie des êtres humains (comme des animaux, domestiques ou d’élevage) qui demeurent sur place. Ces influences peuvent être nocives à moyen ou long terme pour l’homme et l’animal, mais peuvent également amener équilibre et dynamisme. Dans les cas de nocivité, il est possible, voir nécessaire, d’intervenir pour équilibrer les énergies en présence et préserver ainsi la santé et le bien-être des habitants.

     Du point de vue de la Géobiologie, le sous-sol d'une habitation est sain lorsqu'il laisse circuler harmonieusement les énergies essentielles à l'épanouissement des personnes qui vivent sous un même toit.

     A l'inverse, un lieu peut être malsain à cause de perturbations électromagnétiques dues à la présence, dans son sous-sol, d'éléments naturels (veine d'eau, faille géologique, croisement géopathogène...) qui, lorsqu'ils s'additionnent, additionnent également leurs pouvoirs perturbants.

     Ces influences sont amplifiées par la présence de technologies modernes de plus en plus nombreuses, émettrices d'ondes électromagnétiques artificielles.

Provenance des perturbations électromagnétiques :

• Naturelles (Sous-sol de la maison et proximité immédiate) :

Veine d’eau souterraine, courante ou stagnante, faille géologique, cavité, croisement géopathogène, cheminée cosmo-tellurique… (On parle d’ondes telluriques lorsqu’elles proviennent du sous-sol, et d’ondes cosmiques, lorsqu’elles proviennent du cosmos).

• Artificielles :

-    Antennes-relais, transformateur électrique, lignes à haute tension…

-    Téléphone sans fil, portable, téléviseur, ordinateur, wifi, micro-onde...

-    Ondes de forme négatives

     Sans le savoir, nous baignons quotidiennement dans un environnement électromagnétique constant qui influence notre moral et notre santé. D’autant que notre corps est constitué de 70% à 80 % d’eau (suivant l’âge) et nous savons que l’eau est un très bon conducteur.

     De plus la maison (ou appartement) agit comme une « caisse de résonance » à l’électromagnétisme ambiant, qu’il soit bénéfique ou nocif (plus encore lorsqu’il s’agit d’une construction en bois).

Précisions sur la provenance des ondes telluriques :

-     Notre planète ressemble à une immense dynamo : la différence de vitesse de rotation entre la croute terrestre et ses noyaux (l’un liquide, l’autre  plus petit solide) produit un champ magnétique gigantesque, capable de protéger toutes vies des vents solaires et autres radiations mortelles venues du cosmos.

-     En même temps, chaque élément qui constitue notre sous-sol, émet des vibrations, des ondes électromagnétiques plus ou moins fortes et plus ou moins bénéfiques pour les êtres vivants.

B/

     Avec le temps et l’expérience, nous nous apercevons que les perturbations énergétiques d’un lieu influencent plus directement trois étapes majeures de notre vie : le sommeil, le travail, et les repas.

-    Le sommeil, parce que 1/3 de notre temps y est normalement consacré et que l’absence d’activité expose davantage notre corps aux influences extérieures.

-    Le travail, parce que le fait d’y rester de longues heures nous expose aux influences naturelles du lieu (bureaux…), mais également aux influences électromagnétiques artificielles des ordinateurs, et autres machines électroniques.

-    Les repas parce que c’est normalement un moment d’apaisement, de partage et que dans un contexte perturbé il peut être générateur de tensions entre les personnes, de conflits.

     Si nous n’avons habituellement pas conscience de la présence de ces perturbations, il est intéressant de constater que de nombreuses personnes ont des réactions instinctives pour s’en préserver.

     Le moyen, simple et accessible, pour savoir s’il y a présence de perturbations énergétiques dans notre habitation ou notre lieu de travail, est de se questionner, s’interroger, rester attentif aux faits observés :

• La qualité du sommeil :

-    Est-ce que ma chambre m’inspire confiance, un sentiment de protection, de bien-être? Ou, au contraire, est-ce que j’ai de la réticence à y entrer pour aller me coucher ?

-    Est-ce que je m’endors facilement ?

-    Est-ce que je dors bien chaque nuit ?

-    Mieux dans une pièce que dans une autre ?

-    Est-ce que chaque matin, je me sens en forme, ou, au contraire, je ressens de la fatigue, l’impression  désagréable de ne pas m’être reposé durant la nuit ?...

• Mon lieu de travail :

-    Est-ce que ma concentration est bonne ou perturbée ?

-    Est-ce que je ressens une fatigue anormale au bout de quelques instants passés à mon bureau ?

-    Est-ce qu’en fin de journée je suis chaque jour au bord de l’épuisement ?

-    Ma concentration est-elle meilleure à un endroit, plutôt qu’à un autre ?

     Ces constats sont valables pour un enfant : un mauvais positionnement de bureau dans la pièce dans laquelle il fait ses devoirs peut nuire à la qualité de sa concentration. Les enfants sont souvent plus sensibles que les adultes à l’ambiance énergétique d’une pièce.

• La salle à manger :

-    Y a-t-il des tensions chaque fois que la famille se met à table ?

-    A-t-on sans cesse le besoin de bouger, de se lever de table ?

-    …etc…

     Un autre moyen, simple et accessible, est d’observer les animaux familiers, plus sensibles que nous aux perturbations des lieux.

     Un chien évitera une zone perturbée, un chat pourra séjourner sur une nocivité, pour préserver, dit-on, la santé de ses maîtres.

     Les anciens faisaient paître les troupeaux sur une terre destinée à une future habitation et, observant leurs comportements, ils construisaient là où le troupeau se reposait.

     On sait que les animaux ressentent un tremblement de terre bien avant qu’il ne se produise.

     Nous ne sommes pas si éloigné des animaux : chaque personne a plus ou moins expérimenté le fait de s’être sentie particulièrement mal dans un lieu, presque jusqu’à la nausée, avoir envie de partir au plus vite, et une fois parti, tout redevient normal. A l’inverse, dans d’autres lieux, s’y sentir étonnement bien, sans raisons apparentes.

C/

     Tous les Géobiologues sont d’accord sur le fait que nous n’habitons pas un lieu « par hasard », les énergies du lieu sont le miroir de nos propres énergies. Il y a interaction, résonance de l’un à l’autre. Le fait de rechercher l’équilibre énergétique de l’habitat profite aux habitants, comme l’énergie des habitants rayonne sur le lieu.

     Le titre révélateur d’un livre du Géobiologue Roger Le Lann s’intitule : « Ces ondes qui nous soignent ».

     Il existe des lieux hautement vibratoires capables de nous faire ressentir une paix intérieure et une énergie incroyable (Lieux sacrés : Chrétiens, Bouddhiques, Druidiques…). Comme il existe des lieux de haute nocivité : maisons à cancer, maisons à séparation de couple, ou lieux dans lesquelles se sont produits des évènements graves, car tout lieu possède une « mémoire », qui induisent de nombreux troubles pour leurs habitants.

     Pour connaître le degré de nocivité d’une habitation, le moyen le plus sûr est de faire venir un géobiologue expérimenté.

     Pour une maison pas encore construite, l’idéal est de le faire venir avant les travaux, pour le choix de l’emplacement.

     Pour une maison ou un appartement déjà en place, son intervention peut éviter bien des désagréments, car dans la nature, tout est « réparable ».

Rôle du Géobiologue.

     Tout d’abord, il fait un bilan énergétique du lieu, avec inventaire des perturbations naturelles et artificielles, pour en évaluer l’importance, voir la gravité.

     Il propose ensuite, suivant le cas, une intervention pour harmoniser les tendances énergétiques du lieu.

     Les Géobiologues n’utilisent pas tous les même éléments, certains utilisent le cuivre, d’autres le minéral… En ce qui concerne le minéral, la pose de pierres enfouies en terre, de petits menhirs, à des endroits précis du terrain, est très efficace,… un peu comme une « acupuncture du sol ».

     Mais la pose de pierres et de menhirs ne suffit pas ; l’intention, la conscience avec lesquelles ils vont être mis en place est déterminante. Plus cette intension sera pure, plus l’intervention sera efficace, l’énergie d’amour et de respect est seule apte à réparer, à harmoniser, à soulager, voir à guérir.

D/

     Si tout le monde ne ressent pas forcément les énergies d’un lieu, il est possible d’en observer les conséquences directes.

• Conséquences des perturbations électromagnétiques dans un lieu donné :

Pour l’humain :

-    Insomnie ou sommeil non réparateur

-    Fatigue nerveuse, physique…

-    Lassitude, dépression ou déprimes récurrentes

-    Agitation anormale des enfants, hyperactivité

-    Maux de tête

-    Brouille en famille, séparation de couples

-    Apparition de maladies à répétition, voir maladies graves

Pour l’animal :

-    Agitation, agressivité, troubles du comportement

-    Fragilité, maladies

-    Taux de mortalité élevé dans les élevages

Pour le végétal :

-    Dépérissement ou croissance perturbée

-   Arbre malade (chancre), arbre au tronc vrillé, arbre « fuyant », sans causes apparentes.

Pour les bâtiments :

-    Fissures dans les murs de la maison ou de la grange indiquant souvent la présence souterraine d’une faille Géologique.

-    Salpêtre à la base des murs due à l’humidité

• Causes des perturbations :

Causes naturelles, dues à la nature du sous-sol :

-    Failles et cavités géologiques

-    Eau courante ou stagnante sous la maison ou la grange (avec aggravation si l’eau est polluée ou si il y a présence d’un cimetière en amont de la maison)

-    Nœuds telluriques (Croisements géopathogènes)

-    Cheminées cosmo-telluriques (positives ou négatives)

Causes dues aux « mémoires » du lieu

-    Formes-pensées négatives

-    Entités attachées au lieu

Causes artificielles

-    Ondes électromagnétiques dues à la présence d’un ordinateur, wifi, téléviseur…

-    Passage de lignes hautes tensions à proximité de la maison

-    Antenne relais

-    Mauvais branchement à la terre de l’installation électrique

-    Ondes de formes négatives (amas de ferrailles…)

-    Cavités bouchées (cheminée, puits…)

Autres influences plus ou moins négatives :

-    Certains masques Africains

-    Animaux empaillés

-    Vieux meubles ayant appartenu à des personnes très perturbées

-    Tout ce qui touche de près ou de loin à toute pratique de magie noire…

• Instruments du Géobiologue

-    Baguettes parallèles

-    Baguette de sourcier

-    Pendule

- Divers instruments électroniques de mesure : Ondes électriques, ondes électromagnétiques.

-    Ressenti personnel au travers du corps

• Eléments de rééquilibrage énergétique d’un lieu

Perturbations naturelles :

-    Le minéral : pierres et petit menhir enfouies en terre à des endroits précis du jardin, avec pose d’intention

-    Assemblage minéral disposé dans la maison, l’appartement

-    Meilleure disposition du lit, du bureau…

-    « Nettoyage des mémoires »

-    Libération des « présences » ou entités

Perturbations artificielles :

-    Mise à la terre de l’installation électrique

-    Emplacement et choix des appareils électriques, surtout dans les chambres (radioréveil…)

-    Ne pas laisser d’appareils électriques en veille durant la nuit (éviter la télévision dans la chambre)

-    Ne pas abuser de la téléphonie sans fil

-    Eviter la wifi

-    Si on travaille sur ordinateur, préférer de prendre une douche ou un bain le soir plutôt que le lendemain matin et se laver régulièrement les mains durant la journée

-    Se servir le moins possible du four micro-onde

•  Géobiologie : discipline de prévention

-    Evite nervosité et fatigues de toutes sortes

-    Evite certaines maladies

-    Tend à préserver l’harmonie dans le cadre conjugal et familial

-    Permet un meilleur repos et le ressourcement des personnes fragilisées

-    Invite à une prise de conscience de nos besoins vis-à-vis de l’environnement

-    Invite à la réflexion et au respect de la nature et de toute vie sur terre

• Après la pose d’éléments équilibrants sur le terrain, il faut en vérifier l’efficacité à l’aide des baguettes ou pendule.

• Remerciements au lieu et aux énergies de la nature après chaque intervention.

     Il est important de préciser que nous ne sommes pas égaux face aux ondes nocives ou bénéfiques d’un lieu, tous ne ressentons pas avec la même intensité les énergies. Les personnes sensibles (personnes âgées, enfants,…), surtout fragilisées par les épreuves difficiles de la vie (licenciement, accident, deuil, divorce…), ressentent avec plus de force les perturbations électromagnétiques en présence, et sont donc plus à même d’en subir les conséquences.

     Dans tous les cas, il importe de ne pas tirer de conclusions hâtives quand à l’origine de nos troubles de santé et de nous donner le temps nécessaire de l’observation et de l’analyse des faits. Même un lieu fortement bénéfique peut mettre mal à l’aise à cause du « lâcher-prise » qu’il induit. Ce qui importe est de trouver son équilibre personnel, l’harmonique vibratoire qui convient à chacun.

E/

     Note particulière en ce qui concerne les lieux vibratoires puissants, lieux sacrés (Chrétiens, Bouddhiques, Druidiques…) ; il est intéressant de constater la présence et l’influence bénéfique de Vortex, allié à la présence d’une ou plusieurs cheminées cosmo-telluriques. Un Vortex diffuse une énergie douce et puissante à la fois, enveloppante, maternelle, capable de soigner l’âme. Elle provoque un bien-être, un recueillement naturel intense, à tel point qu’on a du mal à s’en éloigner, à sortir de son influence protectrice.

     Il existe également un réseau sacré, lignes de hautes vibrations qui relient plusieurs lieux sacrés, lieux d’exception qui correspondent à des points très particuliers de notre planète et aux évènements qui s’y sont déroulés, de sorte qu’ils sont dynamisés par les agissements et la foi humaine, et n’ont rien à voir avec des « apparences de religiosité » (exemple : la Vierge Rouge du Puy-en-Velay qui a été fondu avec les canons de l’ennemi sous Napoléon III et a gardé une « mémoire » guerrière).

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Les réalités de l'âme

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